Tiger Woods aurait-il perdu de son aura ?
En effet, après Jordan Spieth la semaine dernière, c’est au tour de Rory McIlroy de jouer 63 au nez et au bouc du n°1 mondial.
Pour se consoler, le Tigre pourra se dire que sa prestation à Dubai a été autrement plus convaincante qu’à Torrey Pines (hormis le driving, toujours désynchronisé).
Il n’en reste pas moins qu’au temps de sa splendeur Woods partait avec 2 ou 3 coups d’avance de par la simple peur qu’il instillait dans la tête de ses adversaires, a fortiori quand ces derniers partageaient sa partie.
Le « facteur intimidation » jouant de moins en moins, ce n’est plus que par le jeu que passera sa chasse aux records.
Pour l’instant c’est pas gagné mais avec Tiger ça peut vite tourner.
LEADERBOARD DUBAI DESERT CLASSIC
(Credits Photo : Getty)